Cac’Café : rdv mensuel en visio de 9h à 10h30 [mardi 31 mai]
Découvrez notre rendez-vous mensuel : le CAC’CAFÉ
à 9h (depuis décembre 2021) – prochain rdv mardi 31 mai 2022
Le principe est simple : 1h30 d’échange sur une thématique qui change tous les mois. Un temps pour se parler et se connaitre entre membres du CAC . L’occasion d’échanger sur nos actualités associatives et politiques, les chantiers et projets, et pourquoi pas finir par une petite revue de presse collective et se proposer lectures, vidéos, podcasts…
Nous avons débuté le 2 décembre avec une thématique d’actualité : la nouvelle étude de notre Observatoire des Libertés Associatives.
Ensuite le mardi 25 janvier portait spécifiquement sur les dangers du « contrat d’engagement Républicain »** entré en vigueur le 1er jan 2022. Pour bien comprendre, voir le webinaire réalisé par Le Mouvement Associatif le 20/01/22 : diapos et vidéo
Les séances suivantes se poursuivons avec les sujets que vous amènerez, pensez à vous inscrire, la prochaine sera celle du dernier mardi de mai 2022 à 9h sur la préparation de notre Université d’été à Lille.
Pour vous inscrire aux séances d’avril à juin
Cac’Accueil : connaître le CAC [jeudi 9 juin -12H30]
Quel est ce temps & pour qui est-ce ?
Un tout nouveau rdv mensuel en visio (pour commencer) de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s et faire connaissance. Nouvel adhérent, ou désireux de mieux nous connaître, on vous emmène pour une « visite guidée » en 60mn chrono !
Pourquoi faire ?
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Quand ?
Tous les 2nd jeudis du mois à 12h30 sur inscription.
prochaine date : jeudi 9 juin 2022 à 12h30
Merci de vous inscrire pour faciliter l’organisation et recevoir le lien de visio
Inscription avril, mai, juin 2022
« Non » à l’extrême droite, pour la justice et l’égalité ! [LDH]
Appel unitaire (à l’initiative de la Ligue des droits de l’homme) à rassemblements partout en France
L’extrême droite est à nouveau présente au second tour de l’élection présidentielle, forte d’un niveau de voix jamais atteint. Nous refusons de la voir accéder au pouvoir.
Les causes en sont diverses et anciennes, elles ont été analysées et sont connues. Les responsabilités sont à chercher du côté des politiques ultralibérales menées depuis des années qui ont exacerbé les injustices et les inégalités sociales, enfoncé des territoires et des populations dans la précarité et le désarroi. Nos organisations les ont combattues, comme elles ont dénoncé les attaques portées contre les libertés. Elles les dénonceront encore demain, sans désemparer face à l’adversité.
L’urgence, aujourd’hui, c’est d’affirmer collectivement la force des idées et des valeurs qui nous rassemblent. Elles sont constitutives de la démocratie et totalement incompatibles avec la haine, la xénophobie, la démagogie nationaliste et la mise en opposition de tous contre tous que portent les mouvements d’extrême droite.
En rejetant Marine Le Pen, il s’agit d’empêcher l’avènement d’un projet de société destructeur de l’État de droit, de la république démocratique sociale et solidaire que nous défendons chaque jour. Il s’agit de dénoncer son programme trompeur qui frapperait durement les plus faibles, les plus démunis, les femmes, les personnes LGBTI ou étrangères.
Ensemble, nous voulons réaffirmer que la devise « Liberté, Egalite, Fraternité » doit, plus que jamais, rester à l’ordre du jour, pour toutes et tous, sans exclusive ni distinction. Dans la diversité de nos approches et formes d’actions, nous voulons construire un destin commun de justice sociale et environnementale autour de l’égalité des droits, par le débat démocratique, un dialogue social et civil renforcé, un État de droit qui garantisse pleinement nos libertés, une République laïque et solidaire, protectrice de l’arbitraire, riche de services publics confortés, reconnus, bénéficiant des moyens de leur pleine efficacité.
Cette ambition commune serait gravement mise en cause avec l’arrivée au pouvoir de l’extrême droite.
C’est pourquoi, ensemble, nous invitons chacune et chacun à participer à de larges rassemblements populaires dans toutes les communes de France et à Paris, le samedi 16 avril 2022 autour d’un même appel :
« Contre l’extrême droite et ses idées, pas de Marine Le Pen à l’Élysée ».
Retrouvez cet appel sur le site de la LDH
Début d’analyse comparée des libertés associatives en France et en Belgique
Première analyse comparée de la situation des libertés associatives en France et en Belgique
À l’invitation de nos amis de l’association « colères du présent » nous avons proposé ce dimanche 1er mai à Arras une table ronde sur les libertés associatives dans le cadre du 21ème salon du livre d’expression populaire et de critique sociale.
Retrouvez ici le podcast de cet échange entre Pierre Smet et Mathieu Bietlot du Collectif 21 en Belgique et Antonio Delfini pour l‘Observatoire des Libertés Associatives en France.
Similitudes sur certains points mais aussi situations nettement différentes dans de nombreux domaines… La comparaison du sort réservé aux associations d’un côté à l’autre de la frontière est riche d’enseignement et permet de prendre un recul intéressant sur ce que nous vivons.
Parcours Emploi Compétence : une nouvelle fragilisation brutale du travail associatif
Communiqué de presse – 29 mars 2022
consultez notre dossier complet
Nouvelle fragilisation brutale du travail associatif
Mauvaise surprise ! Lors des renouvellements des Parcours Emploi Compétences (PEC), les associations découvrent, sans aucune consultation préalable, que les règles ont changé.
Signe d’un profond mépris tant pour les associations employeuses que pour les personnes engagées via ces contrats qui subissent une rupture abrupte de leur parcours.
Le quinquennat, marqué à ses débuts par la fin des contrats aidés, finira par un nouveau coup de canif à la politique de l’emploi associative.
Un nouvel arrêté publié le 22 février[1] en Ile-de-France stipule que désormais tous les renouvellements seront limités à 6 mois. Le maximum des durées de contrat tombe à 16 mois, 10 mois de prise en charge initiale et 6 mois de renouvellement. Dans le précédent arrêté de janvier 2021 le renouvellement allait jusqu’à 24 mois, une différence de taille ! Cette décision vide de tout son sens la démarche d’insertion et de formation en principe attachée à ces contrats.