Catégorie: Nos productions
Webinaire « CAP 22 » en trois parties : tout voir ou revoir
Le sujet : décrypter ce rapport du gouvernement « CAP 2022 » (pour « Comité Action Publique 2022 ») à l’aide un webinaire en triptyque consacré à la ré-organisation administratives des pouvoirs publics et à l’analyse des conséquences pour les associations (sujet complexe mais fort intéressant) :
- Session N°1 : décryptage d’une méthode > lundi 28/01/19
- Session N°2 : contenu du rapport Cap 2202 > lundi 04/02/19
- Session N°3 : une politique déjà à l’œuvre > lundi 11/02/19
Ce travail vient compléter notre livret « Cap 2022 : Les multinationales à l’assaut de l’Etat » sous une forme nouvelle pour le CAC : le webinaire !
Livret « CAP 2022 : les multinationales à l’assaut de l’État »
Septembre/Octobre 2018
Comité Action Publique 2022 : les multinationales à l’assaut de l’État
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Ce dernier livret est proposé par Jean-Claude BOUAL [président du Collectif des Associations Citoyennes (CAC)]. Il s’agit de mettre en lumière que le rapport « Action Publique 2022 » est bien plus que la suite de la politique de Révision des Politiques Publiques (RGPP) : l’idéologie va au-delà d’une privatisation classique des missions de service public et des fonctions administratives ou même d’une délégation de service public au privé, voir d’un mise à disposition de l’État aux services de groupes financiers et multinationales… Ce qui est prôné là c’est que ce sont ces derniers qui SONT l’État ; qui écrivent la loi, font les normes, les contrôlent !
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Début 2019, nous avons créé une série de 3 webinaires pour expliquer concrètement et en détail ce Rapport « AP 22 », retrouvez-les ICI.
LIVRET « Assos citoyennes : résister et construire – De quoi nos gouvernants sont-ils le masque ? »
février 2018
Associations citoyennes : résister et construire
De quoi nos gouvernants sont-ils le masque ?
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Ce tout nouveau livret est proposé par Jean-Claude BOUAL [président du Collectif des Associations Citoyennes (CAC)] où il compile ses différentes analyses et celles issues à la fois :
♦ des échanges de la réunion plénière de juin 2017 « Comment poursuivre nos engagements associatifs ? »
♦ et de ceux de notre Université d’été 2017 à Lyon qui ont été rédigés par Didier Minot [membre fondateur du CAC].
Lecture critique du CAC du rapport KPMG
Lecture critique du rapport KPMG sur « les stratégies des acteurs associatifs et propositions pour faire évoluer leurs modèles socio-économiques » par le Collectif des Associations Citoyennes
septembre 2017
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Le CAC, et notamment un de ses membres, a lu et analysé le rapport. Dans la trentaine de pages qui le constitue, nous souhaitons remettre en cause des éléments énoncés par ce cabinet. Cette lecture a pour objectif de déconstruire les évidences mises en avant par KPMG. Loin donc des théories complotistes qui entendent réduire l’espace politique à celui des intentionnalités unilatérales, il est important de prendre conscience de la lutte politique en jeu afin de prendre ce rapport pour ce qu’il est : ni plus ni moins que l’annonce, à plus ou moins long-terme, de la mort du milieu associatif, ou du moins de sa « mutation » – à tel point qu’on peut légitimement se demander si l’objet mutant qui tend à s’imposer sera toujours susceptible d’être qualifié d’« association ».
Bref historique de la protection sociale en France
En cette fin juin, sort notre nouveau livret « Bref historique de la protection sociale en France » dans le même format que le précédent livret « Quand le social finance les banques et les multinationales« .
Ce livret (rédigé par JC Boual et mis en page par Iréna Havlicek, tous deux au conseil d’administration du CAC) n’a d’autre prétention que de poser quelques jalons, d’éclairer les enjeux des transformations en cours et de permettre, à chacune et à chacun, de s’emparer de ces questions et de prendre part au débat.
Le système de protection sociale que nous connaissons aujourd’hui n’est ni condamné, ni obsolète. Il est consubstantiel de notre société, de notre niveau de vie, de notre cohésion sociale, de notre démocratie. Rien n’est inéluctable et surtout pas le pire… si la société s’en mêle.